Ecole sociale de Mons
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Que pouvez-vous me dire de l'école sociale de Mons? J'entends souvent dire qu'elle n'a pas très bonne réputation. Vrai ou faux? En somme, est-ce une bonne école?
Posté :
Allons ! Il yen a bien certain(e)s d'entre vous qui peuvent m'éclairer hein
Posté :
Coucou,
J'ai entendu aussi beaucoup de rumeurs concernant cette école, mais malgré tout, je m'y suis inscrite, et jamais je ne regretterai ce choix.
Je suis actuellement en 2ème, nous sommes très bien suivis, les profs sont à notre écoute ( et contrairement à d'autres écoles, nous ne sommes pas de vulgaires numéros ^^), les cours sont enrichissants, et peu d'élèves râtent leur année...
Voilà
Posté :
L'ISSHA est mieux cotée auprès des employeurs pour un emploi ou une recherche de stage.
Est ce justifié? C'est un autre débat, mais c'est un fait.
Perso, le fonctionnement des stages de troisième qui ne permettent pas aux stagiaires d'entrer "à fond" dans un stage entrecoupé de période de cours me fait, aussi, préférer l'ISSHA.
Posté :
Bonjour!
Personnellement, je suis sortie de l'Ecole Sociale en juin 2007, et ... n'ai jamais regretté d'en être sortie!
Plus serieusement, j'ai trouvé les méthodes "pédagogiques" employées plus que limites, le suivi des stages pas terrible en deuxième année, et je n'ai personnellement pas ressenti que nous n'étions pas des numéros, au contraire...
Maintenant, peut-être cela a-t-il changé depuis, et cela dépend de l'expérience et du ressenti de chacun...
Si j'avais pu, j'aurais sincèrement préféré aller à l'ISSHA...
Bonne continuation
Posté :
J'ai beaucoup appris de l'école sociale, beaucoup de remise en question, des cours de droit et de méthodologie poussés. Mais j'ai regretté un esprit un peu trop... neutre ? fermé ?
Beaucoup d'élèves à l'époque ont fini leurs études à l'EOS à Bruxelles : un autre monde, des cours plus motivants, plus épanouissants, et (ou mais) une analyse politique, une réflexion plus poussée sur le travail social. Ces transferts n'étaient évidemment pas très bien vu par la sociale.
Je suis content d'avoir connu les deux, même si j'ai failli ne pas survivre à la première
Pour la cote auprès des employeurs, je pense que ça dépend aussi de leur culture d'origine. Il ne faut pas minimiser l'importance de la pilarisation des secteurs (public / privé, catho / laïque).