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Ecole sociale de Mons



femme

Membre depuis le 09/01/2012
8 messages

Posté :

Que pouvez-vous me dire de l'école sociale de Mons? J'entends souvent dire qu'elle n'a pas très bonne réputation. Vrai ou faux? En somme, est-ce une bonne école?



femme

Membre depuis le 09/01/2012
8 messages

Posté :

Allons ! Il yen a bien certain(e)s d'entre vous qui peuvent m'éclairer hein sourire



Membre depuis le 24/01/2012
4 messages

Posté :

Coucou,

J'ai entendu aussi beaucoup de rumeurs concernant cette école, mais malgré tout, je m'y suis inscrite, et jamais je ne regretterai ce choix.
Je suis actuellement en 2ème, nous sommes très bien suivis, les profs sont à notre écoute ( et contrairement à d'autres écoles, nous ne sommes pas de vulgaires numéros ^^), les cours sont enrichissants, et peu d'élèves râtent leur année...

Voilà sourire



femme

Membre depuis le 30/10/2010
6 messages

Posté :

L'ISSHA est mieux cotée auprès des employeurs pour un emploi ou une recherche de stage.
Est ce justifié? C'est un autre débat, mais c'est un fait.

Perso, le fonctionnement des stages de troisième qui ne permettent pas aux stagiaires d'entrer "à fond" dans un stage entrecoupé de période de cours me fait, aussi, préférer l'ISSHA.



Membre depuis le 20/11/2006
60 messages

Posté :

Bonjour!

Personnellement, je suis sortie de l'Ecole Sociale en juin 2007, et ... n'ai jamais regretté d'en être sortie! clien d´œil
Plus serieusement, j'ai trouvé les méthodes "pédagogiques" employées plus que limites, le suivi des stages pas terrible en deuxième année, et je n'ai personnellement pas ressenti que nous n'étions pas des numéros, au contraire...

Maintenant, peut-être cela a-t-il changé depuis, et cela dépend de l'expérience et du ressenti de chacun...
Si j'avais pu, j'aurais sincèrement préféré aller à l'ISSHA...

Bonne continuation



Membre depuis le 24/06/2009
1 message

Posté :

J'ai beaucoup appris de l'école sociale, beaucoup de remise en question, des cours de droit et de méthodologie poussés. Mais j'ai regretté un esprit un peu trop... neutre ? fermé ?

Beaucoup d'élèves à l'époque ont fini leurs études à l'EOS à Bruxelles : un autre monde, des cours plus motivants, plus épanouissants, et (ou mais) une analyse politique, une réflexion plus poussée sur le travail social. Ces transferts n'étaient évidemment pas très bien vu par la sociale.

Je suis content d'avoir connu les deux, même si j'ai failli ne pas survivre à la première sourire

Pour la cote auprès des employeurs, je pense que ça dépend aussi de leur culture d'origine. Il ne faut pas minimiser l'importance de la pilarisation des secteurs (public / privé, catho / laïque).