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Nombre de patients



Membre depuis le 22/06/2006
258 messages

Posté :

Bonjour,

Ce message s'adresse à ceux qui consultent en pivé en tant que psychologues, plus particulièrement en thérapie et suivis (les bilans étant plus ponctuels). Vivez-vous souvent des périodes de "creux" au niveau du nombre de patients? Je pratique depuis plus d'un an, et ma consultation s'est assez rapidement remplie (envoi par des médecins, autres psys, institutions, annuaires professionnels...). Cependant, pour l'instant, je suis "redescendue" à la moitié de mes places disponibles. Est-ce normal ou dois-je m'inquiéter? Est-ce cyclique? Par périodes particulières? Faut-il régulièrement se rappeler au bon souvenir des envoyeurs potentiels? Toutes remarques et expériences à ce propos sont les bienvenues.



Membre depuis le 20/02/2006
142 messages

Posté :

Personnellement,, je suis psy en cabinet privé et il y a en effet des cycles, c'est toute la joie des indépendants, car le sfactures, elles sont stables clin d´œil.

Vous avez deja de la chance d'avoir pu remplir votre cabinet, de mon coté, je n'ai quasiment pas de retour des professionnels.

N'oublions pas que nous ne sommes pas seuls sur le marché et qu'il n'y a pas une mine inépuisable de patients.



Membre depuis le 22/06/2006
258 messages

Posté :

Merci de votre réponse, Del, cependant, ça dépend ce qu'on entend par remplir son cabinet: j'ai d'autres emplois en tant que psychologue, et donc, au maximum deux soirées et deux matinées à consacrer à ce cabinet.



Membre depuis le 20/02/2006
142 messages

Posté :

Ah ok, je pensais que vous etiez privilégiée de remplir votre cabinet a temps plein.

Cependant, j'ai parlé avec d'autres psychologues indépendants qui remarquent aussi ces cycles. Souvent lors du retur des beaux jours, il y a une baisse de fréquentation. Curieusement je vois une hausse pdt les vacances scolaires car certains profitent de leurs congés pour entamer une thérapie.



Liège

Membre depuis le 26/01/2007
26 messages

Posté :

Bonjour Viviane,

Tout d'abord (et même si vous êtes dans un creux pour le moment) félicitations pour votre réussite. Car, réussir à remplir son cabinet même un petit mi-temps est déjà encourageant à entendre pour ceux qui n'osent pas se lancer, un peu comme moi...(o)
En effet, j'ai assez peur de me lancer dans cette aventure et en même temps ce serait un rêve qui se réalise.
Pour cette raison, j'aimerai beaucoup que vous m'expliquez, si possible, votre vécu surtout sur la plan financier car c'est bcp ça qui fait peur.
Je suis au courant de la TVA, des impôts, du loyer à payer, etc. mais je sais pas comment ça se traduit dans le réel. Et j'aimerai énormément entendre des expériences humaines à ce sujet ...
Exemple: un ind. complépentaire gagne 1500 Euro...au bout du compte que lui reste-t-il?

C'est très terre - à -terre ma question mais ca me ferait un grand bien d'avoir une réponse...même approximative.

Merci d'avance et bonne journée

Gabrielle



Membre depuis le 08/01/2007
83 messages

Posté :

bonjour, je fonctionne comme psy en privé depuis 10 ans. J'estime personellement que les "extérieurs" (médecins, institutions, etc...) ne contribuent que très peu à notre "publicité". Chez nous les médecins sont encore très protectionnistes et ont un peu peur que nous prenions leur clientèle...même si c'est clair que nous ne faisons pas le même travail...

Oui il y a des cycles mais pas toujours comme on s'y attendrait...je pense que la meilleure chose est le bouche à oreille...il a fallu 5 ans pour qu'il commence à vraiment fonctionner...en ce qui me concerne.

Garde confiance.

Fiorentina



Membre depuis le 22/06/2006
258 messages

Posté :

J'ai de la chance donc d'être entourée de médecins ouverts d'esprit... Concernant la question financière, il m'est difficile de répondre, il faudra attendre les impôts à venir pour savoir ce qu'il me reste vraiment, car c'est la première année que je travaille plein temps: j'ai plusieurs activités, certaines assujetties à la TVA, d'autres pas, et un mi-temps salarié, ce qui est très avantageux au niveau des lois sociales. On m'a parlé d'un "reste" de 55% du brut, mais ça doit varier selon les situations.