sexologue clinicien, une profession fort peu reconnue
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merci fanny
merci Fanny,
de donner suite à mon découragement sur ce forum.
j'en viens à regretter d'avoir mis 4 ans à finir cette licence et comme tu le dis reprendre une formation pour aller vers quoi en fin de compte???? demande beaucoup d'investissement personnelles et financières.
je pense que j'aurais dû mieux m'informer avant de me lancer dans cette licence...
donne moi de tes nouvellles, si ça bouge pour toi.
bonne continuation,
Delphine
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courage
Je pense qu'il est important de faire connaitre le manque de débouchés de cette licence, ds nos écoles ou instituts respcetifs.
Il ne faut pas regretter de l'avoir fait car c'est un plus ds la pratique... le hic, c'est qu'elle ne suffit pas pour être engagés d'emblée comme sexologue.
pour les formations ocmplémentaires, il ya différentes possibilités :
- la sexolgie pratique ds des écoles spécialisées
- la licence en psycho
- les formations thérapeutiques
Bonne chance
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quelles formations, quels débouchés?
Merci Caroline pour les infos des types de formations, mais cela donne-t-il réellement plus de chance de trouver un emploi?
Quand je vois les annonces, j'ai des doutes.
J'avoue que moi, je suis au bout de mes capacités à croire encore en fait une spécialisation et tu auras un boulot.
Actuellement je travaille comme éduc avec mes deux diplômes (Assistante en psycho et licence en sexo) en poche et je suis un peu mal vue car ma directrice la première trouve qu'avec ces diplômes j'ai pas ma place comme éduc. Cela dit, je cherche depuis plusieurs mois à changer, et soit on me répond vous êtes pas chômeuse (acs), on a pas les subsides, soit vous avez pas la licence en psycho, soit l'équipe est au complet, soit vous n'avez pas l'expérience, soit vu les nombreux cv reçu, quelqu'un correspondait mieux.
Non, je crois que nous nous sommes laisser berner par les soit-disant débouchés qu'offraient nos études. Car en définitive, elles n'offrent pas grands choses, soit car il y a plus de candidats que de postes, soit parce qu'elles ne sont pas reconnues.
Mais comme maintenant les études c'est comme un produit de consommation, les écoles font leur pub pour attirer un max d'élèves et pour le reste on s'en fou.
Alors...? Quel avenir professionnel avons-nous?
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espoir
Avant tout, il faut y croire... Ce n'est pas en brassant du noir qu'on avance. Je crois très fort à la force de la pensée positive et autant à celle de la pensée négative.
Sortons de ce marasme !
Le réel est que cette licence n'est pas suffisante, c'est un fait. mais, la question qu'on se pose ici, c'est que faire de ce réel. Si on baisse les bras, on reste avec nos diplômes en poche et nos frustrations en tête...
Avanti !!!
Fanny, que ta direction dise que ce n'est pas ta place-là de faire un boulot d'éduc, c'est vrai. mais, en attendant, tu es sur le terrain. Beaucoup n'ont pas eu cette chance. certaines collègues de licence ont baissé les bras et ont trouvé un job ds un tout autre domaine que le social... ça, c'est du gachis ou de la perte de temps.
Je te conseille d'affiner tes connaissances pratique et théorique, que ce soit par des formations complémentaires ou des journées d'études, par l'observation et l'écoute et la recherche de sens de ce que tu fais là où tu es ou par un chemin personnel de remise en question et de recherche de ce que tu veux vraiment et profondément de ta vie, voire même de déblocage. Crois-tu en toi ? et en tes propres capacités à faire ce que tu veux ?
Si tu as du temps libre, tu peux affiner ta pratique en faisant du bénévolat d'écoute auprès de télé-accueil ou autres services de ce style... Bonne chance, bon courage et surtout "pensées positives !!"
Ciao
Caro
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le doute
Bonjour à tous.
Je termine ma licence en sciences de la famille et de la sexualité à l'iefs et je suis moi aussi en plein doute! Je pensais que la deuxième année serait plus concrète, mais rien! Je suis vraiment déçue de ces études que les professeurs décrivent comme révolutionnaires! Et lorsque je lis vos messages, je ne peux qu'angoisser pour ma recherche d'emplois! Je suis assistante sociale à la base et je me rends compte que je ne dois pas espérer trouver un emploi qui tiendra compte de ma licence. C'est très démotivant. Je me demande aussi si certains ont réussi à faire valoir ce titre. Courage à tous et restons positif! Dans le social, on en a besoin!!
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le doute
Bonjour cécile, je suis en 1ere licence a l'iefs également. Je suis infirmière et je pense que cette licence est un plus en soi et non une finalité concrète. C'est une licence intéressante dont tiendront compte les gens qui t'engageront, sans doute comme assistante social de prime abord. Ne t'inquiète pas, les infirmière et AS trouve du boulot facilement...
Courage, reste motivée dans ta licence,
céline
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Sexologue en planning
Bonjour,
J'ai terminé la licence à l'iEFS en septembre 2004, et j'ai par ailleurs suivi une formation complémentaire en sexo clinique (soirs et we). Il est vrai que trouver une place comme "sexologue salarié" n'est pas évident, et je dois donc faire partie des privilégiés puisque je travaille dans un planning et que j'ai la chance de faire des consultations en sexologie (quelques unes, en plus de mon boulot d'AS et animatrice). Cela me permet d'avoir "un pied dedans" dans le cadre d'une structure (équipe pluridisciplinaire, supervisons,...), avant de me lancer éventuellement comme indépendante complémentaire. Maintenant, il est clair que rien n'est gagné puisque personne ne sait encore dire exactement le diplome qu'il faudra présenter pour pouvoir s'installer lorsque la loi sera définitivement passée. J'espère en tout cas que mes consultations sexo dans le cadre du planning seront prise en compte pour l'éventuel calcul de la "clause grand-père". Croisons les doigts...
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Bonjour à toutes et tous,
Je suis Gradué en Psychologie Clinique (ILMH), licencié en Sciences de la Famille et de la Sexualité (IEFS de l'UCL) et en cours de formation à la psychothérapie familiale systémique (La Forestière à Bruxelles).
Deux mois après l'obtention de ces diplômes, j'ai travaillé comme Gradué en psychologie au sein d'un Centre Pms bruxellois. Il s'agissait d'un contrat de remplacement de plus ou moins 7 mois.
Le lendemain de la fin de ce contrat j'étais engagé comme licencié en Sciences de la Famille et de la Sexualité au sein d'un Planning Familial à raison de 10 heures semaine (contrat à durée indéterminée). Ce métier consiste à réaliser un travail d'animation dans les écoles et centres intéressés. J'ai également la chance de réaliser des consultations psychologiques et sexologiques au sein de ce même planning.
Suite à cet engagement j'ai pu décrocher un autre job, toujours au coeur d'un planning familial mais à raison de 19 heures par semaine (contrat à durée indéterminée). Ce job consiste en un travail d'animation et en une plage de consultations psychologiques et sexologiques.
Si je vous écris tout cela ce n'est pas pour exhiber le côté narcissique de ma personnalité mais pour appuyer l'intérêt que recouvrent ces différentes formations.
Il est vrai que les places sont chères, au sens propre comme au figuré (= enveloppes+papiers+timbres en envoi spontané), néanmoins il est possible de se tracer un chemin... Parfois il faut user de patience... je l'avoue.
Quelques conseils pour aider les nouveaux diplômés (gradué, licencié...):
Un beau C.V. présentant ce que vous êtes réellement et non un copier-coller impersonnel + un passage par le forem pour qu'il vous corrige ce dernier + des enveloppes achetées chez "8 bras"+ un guide social 2005 (voire plus récent) pour les adresses "psy" + une bonne dose de patience et l'espoir d'obtenir un job dans lequel vous pourrez évoluer et vous épanouir... et gagner des soussous aussi. Les soussous ca aide en effet.
Courage à toutes et tous et bonne m...e à ceux et celles qui terminent leurs études ou recherchent un job.
Cédric C.
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Salut!
J'ai terminé la licence à L'IEFS il y a un an maintenant et comme beaucoup d'entre vous, celle-ci ne me mène pas à grand chose sur le plan professionnel : dans les planning on demande de la pratique, ce qu'il manque dans la formation! Mais je ne déséspère pas et compte reprendre, cette année, une formation complémentaire. Comme c'est le cas de beaucoup d'entre vous, j'aimerais connaître votre avis. Quelqu'un peut me donner des infos (Sarah, par exemple) sur la formation complémentaire en sexologie clinique qui se donne à Louvain et à Liège? Est-elle axée sur la pratique? Quelle orientation a-t-elle (plutôt systémique, psychanalyse...) ? Il a t-il des stages? Le prix? Les horaires? La durée? Y at-il des exams? Un mémoire? Etes-vous contents de cette formation? Sur quoi débouche-t-elle?
Sinon, il existe une formation en sexothérapie fonctionnelle donnée à Liège et à Bruxelles, par un professeur de l'IEFS (De Sutter) et un sexologue québèquois (De Carufel). Elles se donne en deux ans à raison de 6 w-end, de 10h à 17h et coûte 1850 euros!!! Enfin s'il faut passer par là... Elle est très axée sur la pratique, avec des cas concrets et des réponses concrètes, des jeux de rôles... En général, après la formation, tu t'installes comme indépendant tout en ayant la possibilité de te référer à tes professeurs qui sont à ta disposition. Par la suite, tu as plus de chances de trouver une place en planning car tu as acquis une certaine expérience. C'est le parcours de plusieurs personnes ayant suivi cette formation.
Voilà. Je pense que je vais faire cette formation mais j'aimerais avoir des infos sur la formation en sexlogie clinique... je doute encore.
Merci et bonne chance à vous tous pour la suite.
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salut sandrine, j 'ai lu attentivement ton intervention sur les formations en sexologie . J'aurais voulu savoir quelle école pratique cette formation. Peux tu m 'aider? merci
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