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reconversion en instituteur primaire

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Membre depuis le 08/08/2014
3 messages

Posté :

J'ai aussi une question concernant le fait que le métier d'instit primaire est en pénurie et la dispense de l'ONEM (que j'ai). Est ce que cela est vrai pour la région de Bruxelles-Capitale ET la région Wallone ? Pensez-vous que si je veux suivre mon cursus en Wallonie, je pourrai garder mon droit à la dispense ?



Membre depuis le 01/04/2014
4 messages

Posté :

Oui Nella, le métier est considéré comme en pénurie dans toute la communauté française, donc Bruxelles+Wallonie. Donc en principe oui.



Andenne
femme 46 ans

Membre depuis le 22/02/2013
14 messages

Posté :

j'ai fais mes études d'éduc à De Fré et j'ai adoré clien d´œil Par contre, là j'habite en wxallonie et me questionne aussi de faire instit! je ne savais pas qu'il y avait des dispenses sourire



Membre depuis le 24/10/2014
1 message

Posté :

Bonjour, pouvez-vous me dire si vous êtes content de votre choix? J'ai 32 ans et je me trouve dans la même situation : je voudrais reprendre des études pour devenir institutrice primaire. Et je ne sais pas quelle école choisir à Bruxelles. Merci pour vos conseils!



Rhode-Saint-Genèse
femme 44 ans

Membre depuis le 14/09/2010
2 messages

Posté :

Bonjour à tous,
Je travaille depuis 10 ans (assistante sociale) et le métier d'instit m'a toujours attirée. J'ai 34 ans, travaille à mi-temps et suis indépendante complémentaire (formations et supervisions dans les crèches). Je pense que la seule solution pour moi est de prendre une pause carrière mais comment s'en sortir financièrement ?
A ceux qui reprennent des études : comment faites vous pour financer ce projet ?
Merci pour vos réponses : )
Bon courage à tous !



Membre depuis le 06/01/2015
4 messages

Posté :

Bonjour, je suis dans le même cas que vous. J'ai 31 ans et je travaille dans la communication mais mon métier ne me plaît pas. Je souhaite me reconvertir dans l'enseignement en tant qu'instit primaire.
Defré me semble une école assez bien et située dans un bel endroit.
Par contre, je ne sais rien des conditions de pénurie pour ce métier. J'ai peur que la pénurie ne touche surtout que les postes de remplacement.
Quelqu'un pourrait m'en dire plus?



Membre depuis le 27/01/2015
1 message

Posté :

Bonjour, je suis dans le Meme cas que vous cette année! J'hésite bcp entre l'ispg et l'heldb ! Qqun pourrait t'il m'aider et faire part de vos expériences sur ces écoles ? Merxi bcp



femme

Membre depuis le 21/02/2006
188 messages

Posté :

j'ai lu plus haut qu'on ne pouvait pas bénéficier d'allocation de chômage quand on a déjà un diplôme du supérieur. CA je sais que c'est une erreur car j'ai une personne dans mon entourage qui a fait un graduat puis en a recommencé un nouveau dernièrement dans un métier dit en pénurie et il bénéficie des allocations de chomage (info belgique)



homme

Membre depuis le 15/02/2019
1 message

Posté :

Bonjour, je suis tombé sur cette discussion par hasard et me suis inscrit juste pour y répondre.
Agrégé en Arts Plastiques, j'ai enseigné mais toujours comme remplaçant au vu de la difficulté de trouvé un poste fixe dans cette matière.
J'ai donc choisi de me en tant qu'instituteur primaire.

Honnêtement, je déconseille *fortement* l'ispg!!!
- Les cours sont décousus et mal donnés. Certains profs sont des partisans acharnés des dites "pédagogies actives" et insistent pour qu'on les mette en pratique pendant nos stages. Sauf qu'ils ne donnent *aucune* notion de ce que cela est, et je me demande franchement si eux-même le savent réellement?
- Il n'y a pas de syllabus, juste des petites feuilles volantes distribuées par-ci par-là
- Le minerval est excessivement cher
- Comme dit plus haut, ils adorent Freinet et le socio-constructivisme, et pourtant, nous envoient en stage dans des âtres écoles catholiques qui détestent ça. En effet, j'ai donné une leçon façon Freinet pendant un de mes stages et je me suis fait rabroué de toutes les manières possibles par l'institutrice, comme quoi ce n'était pas de l'enseignement mais de l'animation. Parceque, oui, l'idée que les élèves doivent rester assis bien sagement en silence et que le prof doit être soit au tableau soit au bureau (sûrement pas circulant dans la classe) est ancré dans les mentalités
- Le fait d'aller à l'ispg ne vous garantira pas plus qu'une autre école normale d'entrer dans une école SEGEC (catholique). Plein de collègues viennent du "public" et entrent dans le catholique.
- Cela ne vous fera pas non plus entrer dans le système des pédagogies actives, si c'est ce qui vous attire. Les places y sont chères et réservées plutôt à ... leurs ancien élèves!
- Effectivement, les prof donnent les cotes à la tête du client. Décider si un stage ou une préparation de leçon sont bons est très subjectifs et c'est là qu'ils en profitent. Les notes "pile juste" comme 9,5 sont revues à la hausse ou pas en conseil de classe à la tête du client. En effet, pendant les délibés, la photo de l'étudiant s'affiche en grand et le jury discute si on le fait passer ou pas, ils le disent eux-mêmes sourire
- Si vous avez un papa ou une maman instit ça vous aider franchement chez eux, surtout s'ils sont dans le réseau Segec. En effet, ils n'oseront jamais "buser" un fils de, car après papa-maman se révoltent et font passer mauvaise réputation sur l'école normale. Or, l'école normale n'a pas intérêt à se fritter avec les potentiels employeurs de leurs étudiants et accueillants de stagiaires
- Les cours sont très longs et il n'y a pas de syllabus, juste quelques petits feuillets. Au niveau du mémoire, ils aident pas. Du coup, certains profs n'hésitent pas à proposer leurs "services" en cours particuliers, à 20euro de l'heure (annonce affichée aux valves)
- Si vous avez dépassé l'âge "normal" d'être aux études, vous serez considéré "anomalie" par les élèves comme par les profs.
- En stage, l'instituteur chargé de vous "former" (?) est roi, et le sait. Pas mal d'histoire de harcèlement sur stagiaires mais ça ils s'en foutent. Parce que l'ispg est obligée de placer ses élèves en stage, et les écoles ne sont pas obligées d'accepter. Pour régler un problème en stagiaire et maitre de stage, on met la faute sur le stagiaire, c'est plus simple et on se fritte pas.
- Par contre, quand 4 copines amènent la même prépa de leçon que celle qui a une maman instit, ce n'est pas considéré triche mais "réseau" et "intelligence sociale"
- Les profs de l'ispg sont instits à la base. Du coup ils gèrent leur classe comme en primaire, parlent comme à des tous petits enfants, manquerait plus que les coups de latte sur la table pour faire silence, c'est abrutissant! lol

De Fré assurément plus sympa!


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